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Ummite

OVNI

Voir aussi : [Message aux autres entités extraterrestres] [Aéronef] [Autres entités extraterrestres]
  [Voyage interstellaire]

Ces dernières années, à cause de l'apparition dans l'atmosphère terrestre des U.F.O., O.V.N.I. ou SOUCOUPES VOLANTES, la fantaisie des hommes de la Terre a augmenté avec la multiplication dans la Presse de fausses nouvelles concernant ces phénomènes et ce qui est beaucoup plus grave, l'apparition dans de nombreux pays d'individus comme Georges Adamski en 1952, Daniel Fry ou la norvégienne Edith Jacobsen en 1954, qui juraient avoir eu des relations avec des êtres originaires d'autres planètes.(d21, 1966)

Depuis lors sont arrivés beaucoup d'autres vaisseaux et en particulier trois OAWOOLEA UEWA en Février 1966.
Les contacts avec l'orographie terrestre furent enregistrés ainsi :


Depuis des années nous sommes intrigués par les apparitions d'autres Astronefs que les nôtres (U.F.O.) dans l'atmosphère terrestre. Personne ne sait aussi bien que nous que l'origine de tels véhicules (sauf les cas d'illusions, d'hallucinations ou de farces) est de types Galactique.
Sur UMMO nous avons officiellement établi des contacts avec d'autres civilisations mais nous désirerions connaître comme vous l'origine de celles qui arrivent sur Terre.
Mais ici nous n'avons pas les moyens techniques pour les identifier. (d21, 1966)

LE 5 JUIN 1966.

A 22h 52 minutes, est arrivé sur la planète Terre, l'un de nos vaisseaux aux environs de IQUIQUE (CHILI) (heure officielle du Chili). Deux de nos frères sont descendus pour une destination secrète.

On n'a pas observé de réactions dans la presse régionale malgré le fait que deux équipages d'avions commerciaux aient détecté notre présence.

LE 5 JUIN 1966.

A 03h 14 minutes, est arrivé sur Terre l'un de nos vaisseaux parti de UMMO. (Heure officielle de la Capitale).

Il prit contact avec la Terre en un point situé à 40 kilomètres de Sydney en "Nueva Gales del Sur" "AUSTRALIE".

De nombreux paysans furent témoins de notre descente selon les nouvelles des journaux locaux. Une voiture gouvernementale se dirigea vers l'endroit de l'atterrissage sans obtenir le contact avec le vaisseau.

Huit de nos frères retournèrent sur notre Planète sur ordre du OMMOAELEWE.

Les paysans qui célébraient un mariage à ce moment là, accoururent malgré l'heure tardive et avertirent ensuite la police de leur observation concernant certains de nos frères qui attendaient l'arrivée de la "FLYING SAUCER".(d39, 1966)


En date du 6 février 1966 (année terrestre) se posa non loin de la route qui relie la ville d'Aluche à la colonie de Casilda de Bustos, (Madrid), l'un de nos vaisseaux spatiaux : OAWOOLEEA UEWA OEMM.

En descendirent deux de nos frères avec pour destination notre section de la république du Chili.

Notre chef de la section espagnole, DEI 98, fils de DEI 97, et l'un de nos frères d'Amérique du Sud, GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540 (venu exprès de Bolivie) attendaient les voyageurs dans un véhicule de tourisme garé dans les environs.

Nos frères du vaisseau qui avaient reçu des instructions complètes (dictées par pétition par notre conseil sur la Planète Terre) posèrent, en descendant du vaisseau, des capsules contenant une suspension colloïdale de graphite de méthanol où l'on avait introduit des lamelles enroulées contenant un double message. Ces capsules furent déposées dans la zone délimitée par les traces du train d'atterrissage du vaisseau.

Ces feuilles ou lamelles, couleur vert cendre, sont en AOXIBOO AGOODAA (Mr Cran pourrait vous montrer l'exemplaire qu'il a en sa possession).

Il s'agit d'un composé que vous ne connaissez pas, mais quelques exemplaires sont tombés entre les mains des Gouvernements Soviétique, Anglais, Australien, des Etats-Unis, et de Bolivie.

Vous pouvez remarquer que sa ressemblance avec les plastiques terrestres normaux est seulement apparente. Il offre une grande résistance à la traction (essayez de le déchirer avec les mains) et il résiste à l'action dissolvante de nombreux agents chimiques.

Il a en plus l'extraordinaire qualité de pouvoir se radioactiver en émettant, après son excitation, des impulsions simples codifiées (par exemple une fréquence de 40 impulsions/seconde) dans une radiation GAMMA de longueur d'onde 0'036 Angstrom, (nous ajoutons un échantillon que Mr Sesma pourra conserver).

Ce message avait été préparé, avec des inscriptions dans notre langue comme nous vous l'avons indiqué au paragraphe précédent (avec une fréquence secrète) et avec une période d'activité très réduite : quelques 70 jours, ensuite la radioactivité résiduelle est presque imperceptible.

Nous attendions que les Services techniques de l'Administration du Gouvernement Espagnol envoie ses spécialistes sur le lieu de l'atterrissage pour prendre ces capsules, comme cela s'est effectivement produit dans d'autres pays.

En ce qui concerne le suivi, nous avons des appareils de détection sensibles : UAXOO IBOAYAA (DETECTEURS DE RADIATIONS) sur Terre qui nous permette de suivre pas à pas la situation exacte de ces messages pendant leur période radioactive. Nous aurions pu ainsi contrôler les manipulations subies par ces documents dans les laboratoires et organismes.

Mais cela ne se déroula pas ainsi : la zone d'atterrissage ne fut pas délimitée et isolée, et pas un spécialiste ne fut envoyé sur place, (selon nos propres renseignements).

Comme ces documents étaient tombés entre des mains non intéressées, nous essayâmes au début de les récupérer, ce que mous pûmes faire partiellement.(d38, 1966)


En mai 1966 quatre de nos nefs atterrirent au sud de l'île Grand Abaco, non loin de Marsh Harbour. Lorsqu'une de nos nefs arriva au voisinage du sol, un malheureux paysan se trouvait dans les parages et subit une grave commotion cérébrale, du fait du niveau élevé des ondes électromagnétiques de courte longueur d'onde émises par la nef.

L'homme fut immédiatement transporté dans notre base du Canada. On dut effectuer une transplantation de tissu embryonnaire et opérer une opération chirurgicale complexe, en accédant à son aire hypopthalamique à travers ses fosses nasales. Nous dûmes également effacer, dans son hippocampe, les informations qu'il avait mémorisées et inhiber toute acquisition de nouvelles données, postérieurement au rétablissement de ses fonctions conscientes. Le 21 mai 1966 il fut déposé en un point situé à proximité du lieu où s'était produit cet incident malheureux.(js388, 1988 )


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