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Ummite

Individu et société.

Voir aussi : [Ummo : Organisation sociale]
  [Sexualité]

Et le OMGEEYIE (couple) assis dans chaque XAXOOU (chaise de fosse) tourne les yeux et se contemple lui-même. Ils s'auto-analysent en invoquant en premier lieu dans le champ de leur conscience, les actes du XII (jour de UMMO), ensuite commence tout un processus mental dans lequel chaque membre du couple spécule sur son existence enracinée dans la société dans laquelle il vit et agglutinée au sein du WAAM.
Il s'offre à WOA qui l'a créé et imprègne sa pensée avec le souvenir de UMMOWOA le Dieu qui, incarné pour apporter la vérité, mourut parmi les terribles martyres de la vivisection.

Il n'y a aucune expérience mystique. Toute l'union avec leur WOA (DIEU) se situe au niveau du raisonnement non exempt d'une vive réaction affective. Nous sentons le plaisir esthétique de notre équilibre spirituel, et quant plus est grand le degré de certitude par rapport au mode positif dans lequel nous avons accompli en ce XII (JOUR) les divins UUAA (LOIS RELIGIEUSES), plus est grande alors l'humble satisfaction intérieure que notre personnalité ressent.

Nos objectifs religieux suprêmes, en dehors de nous reconnaître comme engendrés par WOA, consistent à concéder à chacun de nos frères une importance supérieure à celle que nous nous octroyons égoïstement. Notre esprit de service orienté vers le frère (PROCHAIN) et surtout vers la Société dans laquelle nous sommes immergées, constitue pour nous une véritable idée obsessionnelle.

Le plus petit échec personnel concernant la véritable cristallisation de cet esprit de dévouement, peut nous provoquer de sérieux tourment affectifs ou sentimentaux.

L'homme acquiert la conscience de culpabilité et dans sa prière et méditation nocturnes, il reconsidère sérieusement sa conduite, essayant de trouver des voies psychologiques pour renforcer ses réflexes ou habitudes mentales pour perfectionner sa conduite future avec ses familiers, ses amis, ses supérieurs ou ses subordonnés.

Nos tendances grégaires sont très accusées. La solidarité avec la masse des individus qui nous entourent dans notre vie quotidienne est très profonde. Un de nos frères regrettera beaucoup plus une faute commise contre la collectivité, contre la société qu'une transgression d'une UUAA (LOI MORALE) qui nous engage envers un frère isolé.(d41, 1966)


LA FEMME DEVANT LA SOCIETE D'UMMO.

Si la femme se soumet d'une manière inconditionnelle à l'autorité du mari dans son foyer sans que cette position suppose l'annulation du droit d'opinion et sans diminution de la dignité de la YIE.

Sa position devant le Gouvernement et la société de UMMO est comparable, avec les mêmes droits, à celle du GEE.

Cette situation légale provoque chez nous une ombre du point de vue spirituel que nous acceptons comme un mal nécessaire.

En résumé, la situation professionnelle et hiérarchique de la femme est donc fonction de sa capacité physiologico-mentale pour que chacune, en dehors de son âge, montre dans son UMMOGAOEAAO (formule d'identité qui reflète l'intelligence et autres facteurs des citoyens) une capacité spécifique qui la promotionne automatiquement au poste hiérarchique qui correspond, sans tenir compte de l'âge, sexe ni catégorie des procréateurs, à ceux qui vont maintenant être soumis à elle.

(aujourd'hui aucune femme ne fait partie des quatre membres du UMMOAELENE, mais parmi les 116 composants du Subconseil, 28 sont des YIEE.)

Nous, les hommes, nous acceptons cette situation avec un degré d'humiliation beaucoup plus élevé que les mâles terrestres dans les cas analogues, surtout dans les groupes que nous pourrions appeler PARAMILITAIRES où le grade hiérarchique a une autorité universelle (POLICE, CORPS D'INSPECTION, GROUPES DEPLACES DANS DES VOYAGES INTERPLANETAIRES...).

L'homme se sent alors véritablement malheureux quand son supérieur immédiat appartient à l'autre sexe mais nous l'acceptons avec intégrité et discipline.

Un seul droit nous assiste toujours, la critique de nos supérieurs, qu'ils soient GEE ou YIE, mais nous devons obéir, soumis, même si les ordres sont injustes selon notre propre jugement.

Ne croyez pas que la hiérarchie se venge à cause de ces critiques, au contraire elle les étudie soigneusement et ensuite elle agit en conséquence.(d41, 1983)  


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