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Ummite

Découverte de la Terre.

Voir aussi : [Pourquoi les Ummites sont sur Terre][Découverte des Terrestres]
[Contacts officiels][Exploration de Mars]


Deux ans avant le 28 mars 1950 (ANNEES TERRESTRES), notre Central de XANMOODAIUVA de la région de UIIOGAA IXIOGAA, capta une émission radioélectriques de très faible niveau de fréquence (413,43877 Mégacycles par seconde) provenant du Groupe Interstellaire Galactique codifié par nous comme.....
C'est un de centres automatiques de notre planète chargé de l'Exploration des signaux provenant de notre Galaxie, Signaux qui peuvent être de Nature Electromagnétique ou Lumineuse, mais aussi un train d'ondes Gravitatoires (dont vous ignorez pratiquement les techniques de Générations et d'émissions), mais utilisés largement par d'autres Civilisations en plus de UMMO).

La durée des signaux captés fut intime, 2.21 UIW (6,38 minutes), et étaient composées d'impulsions courtes et d'impulsions longues (nous avons su par la suite qu'il s'agissait du Morse). Mais nos techniciens l'interprétèrent comme un code binaire (point = zéro, trait = un).

Cette erreur provoqua une traduction incorrecte du message car de nombreuse interprétations étant possibles, la plus correcte et la plus cohérente semblait être l'expression analytique de l'équation qui représente mathématiquement quatre points orthogonaux sur un plan. C'est à dire : Un carré. C'est pour cela que la présumé Planète d'où étaient issus les signaux fut baptisée avec le mot OYAGAA dont la traduction est ASTRE FROID du CARRE. (d57, 1967)


En arrivant sur Terre, nous avons eu conscience de toutes ces erreurs compréhensibles. En premier lieu, nous avons pu éclaircir la véritable origine du signal.
Il ne s'agissait pas, comme nous le croyions, d'un message interplanétaire envoyé par une Civilisation Terrestre, mais d'un fragment de conversation codifié envoyé par un navire de nationalité Norvégienne qui, entre le 4 et le 8 février 1934 émit ce message quand il se dirigeait vers Terre Neuve.
Des scientifiques de cette nationalité experts en électronique, appelée alors TSF, essayaient des équipements de haute fréquence pour démontrer la viabilité des communications par réflexion ionosphérique. (A ce moment-là vous ne connaissiez par encore des techniques qui sont maintenent familières aux ingénieures terrestres). Une partie du signal arriva par hasard jusqu'à notre Planète.

L'émission mit 14 ans pour arriver sur UMMO, car les ondes électromagnétiques se propagent par une géodésique qui, considérée dans l'espace à trois dimensions, est une ligne.

Immédiatement notre UMMOALEWE ( nous appelons ainsi notre Conseil au Gouvernement Central composé de trois personnes) ordonna la mise en place d'études pour l'explorations directe de ce système planétaire. (d57, 1967)


Les constructions que nous savons aujourd'hui correspondre à vos maisons ont été identifiées au début comme étant des usines.
Mais ce qui nous a le plus intrigué, ce furent les images obtenues de longs tubes verticaux situés dans toutes ces constructions, des tuyères situées dans les véhicules que purent capter nos caméras, celles-ci expédiant des vapeurs et aérosols (fumée) de couleur sombre.

Vous ne pouvez imaginer la stupeur que nous causa quelque chose qui vous est pourtant familier; l'analyse spectrale de tels gazs présentant une forte dose d'oxyde de carbone, de goudron et d'hydrocarbuyres.
Nous avons imaginé alors que les organismes physiologiques des terrestres ne pouvaient pas vivre dans une atmosphère d'oxygène et d'azote sans les gazs cités antérieurement et c'est pour cela que vous les ajoutiez à l'air envirronnant pour le rendre le plus respirable.
Ceci nous avait rempli d'inquiétude car nous pensions aux conséquences que pouvait avoir pour nous un tel climat artificiel.

Une fois arrivés sur Terre, comme nous vous le raconterons plus loin, notre hypothèse fut corroborée en vous voyant avec ces cylindres de tabac que nous avons interprété au début comme des générateurs de gaz pour la respiration; en nous émerveillant encore plus en observant que les enfants et d'autres individus ne les portaient pas. (d57, 1967)


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